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Le Rossel, d’autres prix et leurs suites


— Les prix

Geneviève Damas vient de recevoir le Prix Rossel 2011 (le «Goncourt belge») des mains de Bernard Pivot, juré Goncourt et parrain de cette 69e édition, pour Si tu passes la rivière, son premier roman. Ce même roman est sélectionné pour le Prix Première RTBF et le prix Un livre, une commune de Cesson (Seine et Marne). Il figure également dans la présélection de la 25e saison de lectures du Festival du premier roman de Chambéry.
Dans cette présélection, on retrouve aussi Un si proche éloignement de Luc-Michel Fouassier.

Laure Mi Hyun Croset se voit attribuer le Prix Eve de l’Académie romande (Genève) pour son roman Polaroïds, le Prix Adam allant à Metin Arditi.

Justine Lalot a reçu le Prix Saga Café du premier roman le 7 octobre pour Pas grand-chose.

— Les rencontres
Vous pourrez retrouver Geneviève Damas:
– le 16 décembre pour une lecture de «Si tu passes la rivière» par Itsik Elbaz sur une musique de Jean-Philippe Collard-Neven au Théâtre Mercelis à Ixelles
– le 19 janvier 2012 de 12h30 à 13h30 à la Cinématek de Bruxelles pour un Midi Lire présenté par Joseph Duhamel
– le 26 janvier à la librairie Chapitre XII (Bruxelles) avec Jean-Philippe Collard-Neven au piano
– le 28 janvier à la Librairie Vaux Livres de Vaux-le-Pénil
– le 10 février à 20h30 au café littéraire Le Sénart de Cesson (Seine et Marne)
– le 20 février à la bibliothèque Charles Bertin à Rhode-Saint-Genèse

… Mais aussi Corinne Jaquet (Zoom sur Plainpalais) à la librairie Payot Rive Gauche (Genève) le 10 décembre de 15h30 à 17h, à la Librerit (Carouge-Genève) le 17 décembre de 11h à 13h et à la librairie Payot Chantepoulet (Genève) le 22 décembre de 17h à 18h30.

— La presse

Beaucoup de presse autour de nos auteurs, et du Prix Rossel en particulier. Quelques références: le Soir, RTL (JT), RTBF (JT et Livr(és) à domicile), Le Vif, Télé Bruxelles, Arte Belgique (50 Degrés Nord), Sud presse, etc. etc. pour Geneviève Damas, La Tribune de Genève et la RSR pour Corinne Jaquet, L’Avenir pour Michel Claise, Culture Club pour Eric Brucher… Impossible de tout citer, et surtout de nier la visibilité actuelle de la maison d’édition!

… Et n’oubliez pas: nous fêtons nos 20 ans en 2012

Une première date à retenir: le jeudi 1er mars à 18h, à la Foire du Livre de Bruxelles.

Corinne Jaquet – Zoom sur Plainpalais

Avril 2004. Alors que la Télévision romande fête son cinquantième anniversaire, un de ses réalisateurs est assassiné sur la Plaine de Plainpalais en plein marché aux puces. Le Commissaire Mallaury, fraîchement nommé à la succession du Commissaire Simon parti à la retraite, se serait bien passé, pour sa première grosse affaire criminelle, d’un cadavre aussi « people ». Surtout qu’une deuxième énigme vient compliquer son enquête, précisément sur cette plaine où est né le cinéma suisse il y a un siècle…
Le nouveau (et très attendu) roman de Corinne Jaquet dans sa série de polars sur des quartiers de Genève

Ce titre est retiré de la vente.

Les premières lignes
Que ferait un homme sachant qu’il va mourir dans moins d’une heure?
Il n’irait certainement pas se préparer un café.
C’est pourtant ce que fit Fernand lorsque onze coups sonnèrent au clocher de Saint-Boniface. Un Nescafé. Vite fait au micro-ondes. Puis il forma un numéro sur le clavier de son téléphone : occupé. « Je rappellerai plus tard. » Qu’il croyait.
Ne se doutant toujours de rien, il alla se rasseoir sur le balcon. Ce n’était pas vraiment un balcon, mais plutôt une loggia, une véranda, un « bow-window », un jardin d’hiver, bref une petite pièce en losange située dans l’angle de l’immeuble et donc de l’appartement. Les vantaux supérieurs s’ouvraient pendant l’été. On se croyait alors suspendu au-dessus de la Plaine de Plainpalais, une loge de choix pour survoler le monde.
Fernand y avait installé une partie de son bureau, son poste d’observation.

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Corinne Jaquet – Genève la noire 2

Après « Genève la noire 1 », qui réunissait en un seul volume les trois premiers romans policiers de Corinne Jaquet, voici un deuxième recueil reprenant les quatrième et cinquième aventures du Commissaire Norbert Simon et de la journaliste Alix Beauchamp dans les rues de Genève.

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Corinne Jaquet – Genève la noire

Voici réunis en un seul volume les trois premiers romans policiers de Corinne Jaquet: « Le pendu de la Treille », « Café-crime à Champel » et « Fric en vrac à Carouge », les trois premières aventures du commissaire Norbert Simon et de la journaliste Alix Beauchamps dans la cité de Calvin.
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Corinne Jaquet – Les larmes de Saint-Gervais

La huitième enquête du commissaire Simon conduit le policier genevois dans le quartier de Saint-Gervais, où un célèbre bijoutier, fournisseur attitré des plus belles femmes de la ville, est retrouvé mort dans son atelier. La porte est fermée à clé. Et malgré les premières constatations, Norbert Simon ne croit pas à une mort naturelle.Une fois de plus, il va s’attaquer au vernis de la bonne société genevoise…

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Corinne Jaquet – Bain fatal aux Pâquis

Politologue de formation et ancienne chroniqueuse judiciaire, Corinne Jaquet gère aujourd’hui un journal régional et son supplément Lectures Magazine. «Bain fatal aux Pâquis» est son septième roman avec le Commissaire Norbert Simon et la jounaliste Alix Beauchamps, après «Le pendu de la Treille», «Café-crime à Champel», «Fric en vrac à Carouge», «Casting aux Grottes», «Les Eaux-Vives en trompe-l’œil» et« Les Degrés-de-Poule», tous chez Luce Wilquin.

Fervente adepte de la baignade par tous les temps dans la rade de Genève, Fiona Lewis, une collègue d’Alix, est retrouvée morte noyée aux célèbres Bains des Pâquis. La journaliste décédée était secrète et solitaire, mais têtue aussi dans ses investigations sur les dossiers sensibles. Est-ce cela qui lui a coûté la vie? Commence alors pour la police une curieuse enquête dans le quartier chaude de Genève. Un vrai casse-tête plein de femmes pour le Commissaire Simon, qui reprend du service après plusieurs mois d’hôpital à la suite de l’affaire des Degrés-de-Poule.

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Les premières lignes
La rade faisait la gueule. Genève était grise. Une fin d’octobre, avec un temps de novembre. Chacun baissait la tête, retrouvant le charme de l’écharpe qui chatouille le nez et des pieds glacés dans les flaques d’eau. Le week-end précédent, un violent coup de bise avait retourné plusieurs bateaux sur les quais ; les vagues s’étaient jetées contre les digues, comme des joueurs de rugby dans la mêlée. Angoissant et magique à la fois. Puis, comme à son habitude, la bise avait renoncé d’un coup. On avait retrouvé dès lundi la monotonie automnale classique. De quoi rêver devant les agences de voyages promettant ciel immaculé et cocotiers penchés.

Corinne Jaquet – Les Degrés-de-Poule

Politologue de formation et ancienne chroniqueuse judiciaire, Corinne Jaquet gère aujourd’hui un journal régional et une revue qu’elle vient de créer : Lectures magazine. «Les Degrés-de-Poule» est son sixième roman. Du même auteur, avec les mêmes personnages : «Le pendu de la Treille» (1997), «Café-crime à Champel» (1998), «Fric en vrac à Carouge» (1999), «Casting aux Grottes» (2000), «Les Eaux-Vives en trompe-l’œil» (2002) – tous aux Éditions Luce Wilquin

Au sortir d’une audience de la Cour d’assises, un avocat bute sur un cadavre au milieu des Degrés-de-Poule, un escalier étroit reliant le Palais de Justice à la cathédrale. Impossible de savoir qui en voulait à ce vieux bonhomme inoffensif… Et comment l’assassin a-t-il pu passer inaperçu dans ce quartier très surveillé? La police se retrouve très vite avec d’autres morts suspectes. L’équipe du commissaire Norbert Simon, toujours hospitalisé après l’affaire des Eaux-Vives, se met alors au travail sous la direction de Mallaury pour tenter de les relier entre elles. Il faut bientôt se rendre à l’évidence : un tueur en série sévit dans Genève.
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Les premières lignes
«Si vous envoyez cet homme en prison, pour le reste de sa vie comme on vous le demande, Mesdames et Messieurs les jurés, vous n’aurez plus jamais la conscience tranquille. Parce que le doute qui subsiste dans ce dossier, votre doute, Madame, Monsieur, doit vous pousser à acquitter. Aussi infime soit-il, il ne vous permet pas de punir. Madame la Procureure vous réclamera une peine exemplaire, elle veut enfermer cet homme pour protéger la société. C’est son travail! Sa mission! La vôtre, c’est la justice, Madame, Monsieur. L’homme qui est devant vous s’est trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment. Une fois de plus, dans sa vie, il n’a pas eu de chance. Une fois de plus! Et comme ce n’est pas un battant, il a eu peur.»

Corinne Jaquet – Les Eaux-Vives en trompe-l’oeil

«Les romans de Corinne Jaquet font aujourd’hui partie du paysage genevois. Le public ne s’y trompe pas qui, à chaque parution, réserve un accueil chaleureux à sa « reine du crime » locale. Cinquième volet des aventures de Norbert Simon et d’Alix Beauchamps, «Les Eaux-Vives en trompe-l’oeil» démontre une fois de plus l’attachement de l’auteure pour sa ville natale. Corinne Jaquet est à Genève ce que Léo Malet est à Paris.» [Jean-Noël Cuénod, La Tribune de Genève]

Genève, février 1995. Une jeune femme est retrouvée morte à Baby-Plage. Qui est-elle ? Quel rapport avait-elle avec cet architecte en vogue disparu sans laisser de traces ? Savait-elle quelque chose à propos du vol mystérieux de tableaux célèbres ? Ce meurtre remet-il en question la création d’un musée dédié à l’un des plus anciens quartiers de Genève ? Ce nouveau mystère plonge le Commissaire Simon et la journaliste Alix Beauchamps en plein cœur du quartier des Eaux-Vives et dans le monde de la peinture, où tout n’est souvent qu’illusion.

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Les premières lignes
Depuis le bus, on devinait quelques angles de la pièce au travers des stores à lamelles. L’endroit était violemment éclairé. Les ampoules devaient être à nu, comme après une installation. Par une fenêtre, on apercevait d’ailleurs un escabeau, du papier peint en rouleaux et des pots de peinture. Assis, déterminé à attendre le départ du 6 au chaud, Édouard observait machinalement cet appartement dont les fenêtres se situaient à hauteur du bus. Il vit donc l’homme brun saisir les poignets de la jeune femme.

Corinne Jaquet – Casting aux Grottes

Licenciée en sciences politiques, Corinne Jaquet fit pendant dix ans ses griffes à la rubrique «faits divers» du défunt journal La Suisse. Son travail aux côtés de la police et sa bonne connaissance du monde judiciaire l’ont naturellement poussée vers le roman policier. Sa série «genevoise», commencée en 1997 avec «Le Pendu de la Treille» continue ici avec un quatrième roman, le premier situé sur la rive droite.

Au lendemain d’une soirée très mondaine au Casting Café, un top model est retrouvé assassiné dans un jardin voisin. Très vite, plusieurs pistes s’offrent au commissaire Simon qui découvre ce monde de la mode, plein de jalousie et d’ambiguïtés. Val, la belle et grande blonde, aurait-elle fait chanter quelqu’un? Mais qui? Il y a, dans son entourage, tant de gens qui ont quelque chose à cacher! Il faudra gratter tout le verni pour découvrir la moisissure. Dans ce quartier populaire en pleine rénovation, ce sont les starlettes et les homosexuels du show business qui font tache…

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Les premières lignes
Il valait mieux tout mettre par écrit et le cacher en lieu sûr. Après ce qui s’était passé aujourd’hui, elle craignait pour sa sécurité. Elle n’avait jamais été très douée en rédaction, mais un style presque télégraphique suffirait. S’il devait lui arriver quelque chose, celui qui ouvrirait cette lettre connaîtrait son assassin. Parce que les menaces avaient été claires.

Corinne Jaquet – Fric en vrac à Carouge

Politologue de formation, Corinne Jaquet a été chroniqueuse judiciaire au quotidien La Suisse, pour lequel elle a passé dix ans au Palais de Justice de Genève. Cette expérience et un travail quotidien au contact de la police l’ont tout naturellement amenée au roman policier.

Roger Pfund, le créateur du billet de cinquante francs français, le fameux « Saint-Exupéry », disparaît mystérieusement de son atelier carougeois. La police genevoise s’égare sur des pistes multiples. Et si l’enlèvement du célèbre graphiste était le fait de faux-monnayeurs ? Un tel génie du billet de banque n’est-il pas une proie de choix pour des mafieux ? Le commissaire Simon va mener l’enquête avec son talent habituel, dans la ville sarde aux portes de Genève. Mais, au fond, souhaite-t-il vraiment retrouver l’artiste qu’il a tant détesté par le passé ?
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Corinne Jaquet – Café-crime à Champel

Politologue de formation, Corinne Jaquet entre en 1983 au quotidien La Suisse, au sein duquel elle a assumé pendant longtemps la rubrique «faits divers» et la chronique judiciaire. Pour ce journal, puis pour l’agence AP, elle a passé dix ans au Palais de Justice de Genève. Cette expérience et un travail quotidien au contact de la police l’ont tout naturellement poussée vers le roman policier.

Les lecteurs ont fait la connaissance de l’inspecteur Simon et d’Alix la journaliste dans «Le Pendu de la Treille» (Wilquin, 1997). On les retrouve ici, plus humains, plus attachants encore, dans le quartier genevois de Champel où ils ont tous deux passé leur enfance… dans le même immeuble – ce qui crée des liens, mais aussi des conflits ! Ils y sont confrontés au meurtre d’une handicapée, riche veuve, dont le passé volontairement occulté dévoilera bien des turpitudes. De fausses pistes en brouillages de cartes, l’enquête (menée par l’un et suivie à la trace par l’autre) débouchera finalement sur une vérité si évidente et si proche que ni l’un ni l’autre ne l’avait envisagée une seconde.
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Corinne Jaquet – Le Pendu de la Treille

Politologue de formation, Corinne Jaquet entre en 1983 au quotidien La Suisse, au sein duquel elle a assumé pendant longtemps la rubrique «faits divers» et la chronique judiciaire. Pour ce journal, puis pour l’agence AP, elle a passé dix ans au Palais de Justice de Genève. Cette expérience et un travail quotidien au contact de la police l’ont tout naturellement poussée vers le roman policier.

Au lendemain de son élection au gouvernement genevois, Georges Bertin est retrouvé pendu à un arbre de la Treille, sous les fenêtres de l’Exécutif de la ville. La stupeur fait vite place aux soupçons. Les opposants politiques seraient-ils allés jusque-là pour récupérer une parcelle de pouvoir ? Le mépris de Bertin pour ses confrères avocats serait-il à l’origine du drame ? Sa jeunesse dans la Genève des années 50 ne cache-t-elle pas un terrible secret ? L’inspecteur Simon mène l’enquête entre avocature et politique, dans ce monde où une certaine pudeur calviniste cache bien des travers…

Les premières lignes
La Gazette, article de Une pour édition du 16 novembre 1989 : Victoire totale de l’Alliance genevoise. Les 7 Conseillers d’État étaient sur la même liste !(J.D.) – Les parieurs ont perdu. Personne n’aurait pensé, il y a deux jours encore, à un tel succès pour l’alliance de droite. Tout le monde, ou presque, misait sur un gouvernement identique au précédent, formé de trois membres de la gauche et de quatre représentants de la droite. Et voilà que l’alliance genevoise, regroupée sous l’appellation genève : debout ! vient tout rafler ! C’est une révolution, un coup de tonnerre dans […]